viernes, 18 de abril de 2008

"Mira en tu camino" (traducción casera)

Salut!!! j'ai fait ma modeste traduction de la chanson des Choristes... Je préfère toujours la version originale bien sûr...

Mira en tu camino
a los chicos olvidados, perdidos,
dales la mano,
guíalos
hacia un mejor mañana

Siente en medio de la noche
la ola de esperanza
alegría de vivir
senda de gloria.

Alegrías infantiles
olvidadas, borradas demasiado rápido.
Una luz dorada brilla sin fin
al final del camino

Siente en el corazón de la noche
la ola de esperanza
alegría de vivir

senda de gloria.


Pues me he puesto a recordar viejos tiempos de Traducción Literaria que tanto me gustaba y he hecho mi pequeña aportación. Queda pendiente el intentar no sólo traducirla sino adaptarla, es decir, que la métrica y la rima "cuadraran" también en español y la canción se pudiera cantar exactamente igual pero con la letra en español. Esto suele ser algo muy muy complicado que convierte al traductor en prácticamente un nuevo creador porque ya se deja de ser literal.

En este caso el problema es que el número de sílabas es tan pequeño que no da juego para conseguirlo.. pero prometo intentarlo o mejor... ¿pq no lo intentamos entre todos?


¡¡¡Vino la inspiración!!!
Lo he conseguido con la primera estrofa!
A ver qué os parece y si la podéis cantar mientras escucháis la versión original, yo creo que sale...

Si en tu senda ves
pobres chicos extraviados,
tiéndeles tu mano
guíalos
hacia un mejor mañana


A ver si alguien más se anima con el resto! Rocío espero tu aportación también... Un besoooo

jueves, 17 de abril de 2008

Les Choristes-Vois Sur Ton Chemin

Salut! Voilà une chanson que J'adore.




Vois sur ton chemin
gamins oubliés égarés
donne leur la main
pour les mener
vers d'autres lendemains.

Sens au coeur de la nuit
l'onde d'espoir
ardeur de la vie
sentier de gloire.


Bonheurs enfantins
trop vite oubliés effacés
une lumière dorée brille sans fin
tout au bout du chemin.

Sens au coeur de la nuit
l'onde d'espoir
ardeur de la vie
sentier de la gloire.


miércoles, 16 de abril de 2008

El cuervo, de edgar alan poe

subo un poema de edagar alan poe en su versión francesa:)

Le Corbeau

Une fois, par un minuit lugubre, tandis que je m'appesantissais,faible et fatigué, sur maint curieux et bizarre volume de savoir oublié- tandis que je dodelinais de la tête, somnolant presque: soudain sefit un heurt, comme de quelqu'un frappant doucement, frappant à laporte de ma chambre - cela seul et rien de plus.
Ah! distinctement je me souviens que c'était en le glacial Décembre:et chaque tison, mourant isolé, ouvrageait son spectre sur le sol.Ardemment je souhaitais le jour - vainement j'avais cherchéd'emprunter à mes livres un sursis au chagrin - au chagrin de laLénore perdue - de la rare et rayonnante jeune fille que les angesnomment Lénore: - de nom pour elle ici, non, jamais plus.
Et de la soie l'incertain et triste bruissement en chaque rideau purpural me traversait - m'emplissait de fantastiques terreurs passenties encore: si bien que, pour clamer le battement de mon coeur,je demeurais maintenant à répéter: "C'est quelque visiteur quisollicite l'entrée, à la porte de ma chambre - quelque visiteur quisollicite l'entrée à la porte de ma chambre; c'est cela et rien de plus."
Mon âme se fit subitement plus forte et, n'hésitant davantage: "Monsieur, dis-je, ou Madame, j'implore véritablement votrepardon; mais le fait est que je somnolais, et vous vîntes sidoucement frapper, et si faiblement vous vîntes heurter, heurter àla porte de ma chambre, que j'étais à peine sûr de vous avoirentendu." - Ici j'ouvris grande la porte: les ténèbres et rien de plus.
Loin dans l'ombre regardant, je me tins longtemps à douter, m'étonneret craindre, à rêver des rêves qu'aucun mortel n'avait osé rêver encore;mais le silence ne se rompit point et la quiétude ne donna de signe:et le seul mot qui se dit, fut le mot chuchoté; "Lénore!". Je le chuchotai - et un écho murmura de retour le mot "Lénore!"-purement cela et rien de plus.
Rentrant dans la chambre, toute l'âme en feu, j'entendis bientôt un heurten quelque sorte plus fort qu'auparavant. "Sûrement, dis-je, sûrement c'est quelque chose à la persienne de ma fenêtre. Voyons donc cequ'il y a et explorons ce mystère - que mon coeur se calme un momentet explore ce mystère; c'est le vent et rien de plus."
Au large je poussai le volet, quand, avec maints enjouement et agitationd'ailes, entra un majestueux corbeau des saints jours de jadis. Il ne fitpas la moindre révérence, il ne s'arrêta ni n'hésit un instant: mais,avec une mine de lord ou de lady, se percha au-dessu de la porte dema chambre - se percha sur un buste de Pallas, juste au-dessus de laporte de ma chambre - se percha -siégea et rien de plus.
Alors cet oiseau d'ébène induisant ma triste imagination au sourire, parle grave et sévère décorum de la contenance qu'il eut: "Quoique tacrête soit chue et rase, non! dis-je, tu n'es pas pour sûr un poltron,spectral, lugubre et ancien Corbeau, errant loin du rivage de Nuit- dis-moi quel est ton nom seigneurial au rivage plutonien de Nuit?"Le Corbeau dit: "Jamais plus!"
Je m'émerveillai fort d'entendre ce disgracieux volatile s'énoncer aussiclairement, quoique sa réponse n'eût que peu de sens et peu d'à-propos; car on ne peut s'empêcher de convenir que nul hommevivant n'eut encore l'heur de voir un oiseau au-dessus de la porte desa chambre - un oiseau ou toute autre bête sur le buste sculptéau-dessus de la porte de sa chambre avec un nom tel que:"Jamais plus!"
Mais le Corbeau, perché solitairement sur ce buste placide, parla ce seul mot comme si mon âme, en ce seul mot, il la répandait. Je ne proférai donc rien deplus: il n'agita donc pas d eplume - jusqu'à ce que jefis à peine davantage que marmotter " D'autres amisdéjà ont pris leur vol - demain il me laissera commemes Espérances déjà ont pris leur vol." Alors l'oiseaudit: "Jamais plus!"
Tressaillant au calme rompu par une réplique si bien parlée: "Sans doute, dis-je, ce qu'ilprofère est toutson fond et son bagage, pris à quelque malheureuxmaître que l'impitoyable Désastre suivit de près etde très près, suivit jusqu'à ce que ses chansonscomportassent un unique refrain; jusqu'à ce que leschants funèbres de son Espérance comportassent lemélancolique refrain de 'Jamais - jamais plus!'"
Le Corbeau induisant toute ma triste âme encore ausourire, je roulai soudain un siège à coussins enface de l'oiseau, et du buste, et de la porte; etm'enfonçant dans le velours, je me pris à enchaîner songerie à songerie, pensant à ce que cet auguraloiseau de jadis - à ce que ce sombre, disgracieux,sinistre, maigre et augural oiseau de jadissignifiait en croassant: "Jamais plus"
Cela, je m'assis occupé à le conjecturer, maisn'adressant pas une syllabe à l'oiseau dont les yeux defeu brûlaient, maintenant, au fond de mon sein; celaet plus encore, je m'assis pour le deviner, ma têtereposant à l'aise sur la housse de velours des coussinsque dévorait la lumière de la lampe, housse violette develours qu'Elle ne pressera plus, ah! jamais plus.
L'air, me sembla-t-il, devint alors plus dense, parfuméselon un encensoir invisible balancé par les Séraphinsdont le pied, dans sa chute, tintait sur l'étoffe duparquet. "Misérable! m'écriai-je, ton Dieu t'a prêté - ilt'a envoyé par ses anges le répit - le répit et le népenthèsdans ta mémoire de Lénore! Bois! oh! bois ce bonnépenthès et oublie cette Lénore perdue!" Le Corbeaudit: "Jamais plus!"
"Prophète, dis-je, être de malheur! prophète, oui, oiseauou démon! Que si le Tentateur t'envoya ou la tempêtet'échoua vers ces bords, désolé et encore toutindompté, vers cette déserte terre enchantée - vers celogis par l'horreur hanté: dis-moi, véritablement, jet'implore! y a-t-il du baume en Judée? - dis-moi, jet'implore." Le Corbeau dit: "Jamais plus!"
"Prophète, dis-je, être de malheur! prophète, oui, oiseauou démon! Par les cieux sur nous épars, - et le Dieu quenous adorons tous deux - dis à cette âme de chagrin chargée si, dans le distant Eden, elle doit embrasserune jeune fille sanctifiée que les anges nomment Lénore- embrasser une rare et rayonnante jeune fille que lesanges nomment Lénore." Le Corbeau dit: "Jamais plus!"
"Que ce mot soit le signal de notre séparation, oiseauou malin esprit", hurlai-je en me dressant. "Recule enla tempête et le rivage plutonien de Nuit! Ne laisse pasune plume noire ici comme un gage du mensonge qu'aproféré ton âme. Laisse inviolé mon abandon! quitte lebuste au-dessus de ma porte! ôte ton bec de mon coeuret jette ta forme loin de ma porte!" Le Corbeau dit:"Jamais plus!"
Et le Corbeau, sans voleter, siège encore - siège encoresur le buste pallide de Pallas, juste au-dessus de la portede ma chambre, et ses yeux ont toute la semblance desyeux d'un démon qui rêve, et la lumière de la lamperuisselant sur lui,projette son ombre à terre; et mon âme,de cette ombre qui gît flottante à terre, ne s'élèvera- jamais plus!

tre cool


Ma chambre a la forme d'une cage
Le soleil passe son bras par la fentre
Les chasseurs ma porte
Comme les p'tits soldats
Qui veulent me prendre

Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas djeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume

Dj j'ai connu le parfum de l'amour
Un million de roses n'embaumerait pas autant
Maintenant une seule fleur dans mes entourages
Me rend malade

Je ne veux pas travailler
Je ne veux pas djeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume

Je ne suis pas fire de a
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique tre sympathique
Mais je ne le connais jamais

Je ne veux pas travailler
Non
Je ne veux pas djeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume

Je ne suis pas fire de a
Vie qui veut me tuer
C'est magnifique tre sympathique
Mais je ne le connais jamais

Je ne veux pas travailler
Non
Je ne veux pas djeuner
Je veux seulement l'oublier
Et puis je fume


:)

sábado, 12 de abril de 2008

Qué buena pinta

Je pense que vous n'avez pas besoin de mon aide... Il semble que Laura a beacoup d'experience avec les blogs, donc elle sera votre nouvelle prof!!
Ah, je vous laisse un petit cadeau... ne vous fâchez pas...



Que pena no haber grabado más de la actuación de las Aserejé (atención a la aparición estelar de Sofía)